SOUS LE VOILE, L'UNIVERS... L'unique version de ce qui forme un tout.
"Que celui qui dit s'être senti seul au milieu des éléments, s'être senti minuscule au milieu de nul part, n'est pas un fin observateur, (ou peut-être se ment-il à lui-même).
L'univers tel que je le perçois:
Qu'il soit scientifique avec ses théories "cosmologiques", ou religieux avec ses théories de cosmogonie", l'homme est loin de comprendre le langage de la nature qui forme qu'un tout. Un seul vers, unique! Un unique vers. Un langage parlé par tous les éléments, naturel. Il est loin le temps du langage ancien, qui s'adaptait à la nature. A présent, ordonné, en fait, déstructuré face à la nature, le langage de l'homme est fait pour relier en divisant les membres de cette fourmilière, artificiellement face à un concept erroné, "l'homme maitre de la nature". La plus grossière erreur de l'humanité. Adapter des astérismes, avec des X, Y, et des nombres irréels de surcroit, quelle absurdité ces mathématiques. Quand je pense que certain font des statistiques, même pour les jeux de hasard!
Avec en plus, une éducation qui ne correspond en rien avec celle de nos ancêtre, quel gouffre!
Tout pour nous séparer de la nature.
Les uns plus vieux, parlent de guerre avec honneur, les jeunes crient que leur "new waves" est "fashion". Quels imbéciles heureux lorsqu'ils sont en public!
Mais comme dit ma mère, "regardes-les à long terme pleurer sur leur sort."
Si Holliwood se trouvait en U.R.S.S, les méchants ne seraient pas les Russes, et peut-être, les gentils seraient les indiens, pas les cow-boys.
Drôle de langage face aux éléments qui nous entourent.
Tout est la faute des langages. La faute à l'homme de croire à une mathématique ordonnée...
J'ose juste espérer, bon vent."
Bookmanie
Un langage qui peut-être compris que lorsque l'homme stoppera ses observations, cette relation qui lie sa conscience avec les objets, ces produits qu'il veut s'accaparer.
L'association des images bien ordonnés par un langage bien ordonné, l'éclaire juste pour les contours des objets qu'il convoite ou qu'il observe.
Mais lorsqu'il lève les yeux vers celui qui l'éclaire, (le soleil), il ne peut être qu'aveuglé.
"Que celui qui dit s'être senti seul au milieu des éléments, s'être senti minuscule au milieu de nul part, n'est pas un fin observateur, (ou peut-être se ment-il à lui-même).
L'univers tel que je le perçois:
Qu'il soit scientifique avec ses théories "cosmologiques", ou religieux avec ses théories de cosmogonie", l'homme est loin de comprendre le langage de la nature qui forme qu'un tout. Un seul vers, unique! Un unique vers. Un langage parlé par tous les éléments, naturel. Il est loin le temps du langage ancien, qui s'adaptait à la nature. A présent, ordonné, en fait, déstructuré face à la nature, le langage de l'homme est fait pour relier en divisant les membres de cette fourmilière, artificiellement face à un concept erroné, "l'homme maitre de la nature". La plus grossière erreur de l'humanité. Adapter des astérismes, avec des X, Y, et des nombres irréels de surcroit, quelle absurdité ces mathématiques. Quand je pense que certain font des statistiques, même pour les jeux de hasard!
Avec en plus, une éducation qui ne correspond en rien avec celle de nos ancêtre, quel gouffre!
Tout pour nous séparer de la nature.
Les uns plus vieux, parlent de guerre avec honneur, les jeunes crient que leur "new waves" est "fashion". Quels imbéciles heureux lorsqu'ils sont en public!
Mais comme dit ma mère, "regardes-les à long terme pleurer sur leur sort."
Si Holliwood se trouvait en U.R.S.S, les méchants ne seraient pas les Russes, et peut-être, les gentils seraient les indiens, pas les cow-boys.
Drôle de langage face aux éléments qui nous entourent.
Tout est la faute des langages. La faute à l'homme de croire à une mathématique ordonnée...
J'ose juste espérer, bon vent."
Bookmanie
Un langage qui peut-être compris que lorsque l'homme stoppera ses observations, cette relation qui lie sa conscience avec les objets, ces produits qu'il veut s'accaparer.
L'association des images bien ordonnés par un langage bien ordonné, l'éclaire juste pour les contours des objets qu'il convoite ou qu'il observe.
Mais lorsqu'il lève les yeux vers celui qui l'éclaire, (le soleil), il ne peut être qu'aveuglé.
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